A travers 6 paires de points réparties sur 3 zones de chaque poignet et sur 2 niveaux (superficiel et profond) l’acupuncteur écoute l’harmonie et la qualité des pulsations comme un musicien vérifie un instrument bien accordé.
La prise de pouls permet de donner des indications sur la zone du corps en déséquilibre, et de l’état de l’énergie, du sang et des liquides organiques.
Cette technique s’est développée durant la Dynastie des Han (206 av. JC – 23ap.JC) à l’époque le respect et la pudeur imposait aux médecins un contact physique minimal (surtout avec l’Impératrice !) et ne pouvait donc avoir accès qu’aux poignets, mains et chevilles, pieds.
Il y a 27 formes de pouls (glissant, rugueux, tendu…) classées en 4 catégories : (profond ou superficiel ; rapide ou lent ; long ou court ; fin ou large)
Il se prend dans les 3 loges qui selon les textes (il y a des variantes) correspondent :